L A E T I T I A
Il y a des personnes qui soignent avec leurs mains, d’autres avec leurs mots.
Laetitia, elle, soigne avec sa présence. Une douceur qui rassure, une écoute qui apaise, un regard qui comprend sans juger.
Infirmière diplômée d’État, elle a passé des années à accompagner ceux qui souffrent, à être ce repère stable dans les moments où tout vacille. Mais au fil du temps, Laetitia a senti qu’il manquait quelque chose : une manière plus globale d’aider, un soin qui prenne en compte le corps, les émotions, les fragilités cachées derrière les sourires.
Un soin qui libère, pas seulement qui répare.
C’est ainsi qu’est née L’Évidence.
Un nom qui s’est imposé comme une vérité intérieure… parce que parfois, la transformation commence quand on revient à ce qui est simple, essentiel, évident.
Avec le laser auriculaire, Laetitia accompagne ceux qui souhaitent se libérer de leurs addictions, apaiser leur anxiété, mieux dormir, alléger leurs douleurs. Une technique douce, lumineuse, qui agit sur l’oreille comme on ouvre une porte vers l’équilibre intérieur.
Elle voit chaque séance comme une rencontre : l’histoire de la personne compte autant que le soin.
Et puis, il y a le massage crânien, ce moment suspendu où le corps respire enfin. Les tensions glissent, les pensées s’apaisent, le souffle s’allonge.
C’est un soin qu’elle aime proposer en complément, comme un geste tendre qui dit : « tu peux relâcher maintenant ».
Laetitia ne force jamais, n’insiste jamais.
Elle guide, elle soutient, elle accompagne… même à distance. Pour elle, l’après-séance est aussi important que la séance elle-même. Parce qu’elle sait que le vrai changement se joue dans le quotidien, dans les choix silencieux, dans les petits pas vers soi.
L’Évidence n’est pas un cabinet.
C’est un cocon.
Un endroit où l’on se dépose, où l’on se retrouve, où l’on se choisit enfin.
Laetitia n’apporte pas seulement un soin.
Elle offre un espace où chacun peut respirer plus profondément, écouter sa voix intérieure, et avancer vers une vie plus douce — à son rythme, en confiance.
L A E T I T I A . . .
"Bientôt, le grand départ pour ce magnifique voyage au Kenya… Le moment de transformation commence quand tu choisis. C’est là que tout démarre. Les portes s’ouvrent, les bonnes personnes apparaissent, c’est la vie.
S’écouter et se choisir n’est pas un acte égoïste, même si beaucoup le voient ainsi.
J’ai eu un déclic.
Je me suis oubliée pendant des années.
Il y a un moment où tu sens que tu t’es perdue, non pas dans un pays magique, mais à l’intérieur de toi.
J’ai passé des années à porter les besoins des autres, à dire “oui” quand mon intuition disait “non”. Et un jour, tu sens que ce n’est plus possible… J’avais l’impression de vivre en apnée, pour les autres et non pour moi. Ce défi de vouloir toujours donner au maximum, à n’importe quel prix, pour assurer, pour sauver…
Chaque matin, malgré le vide, la peine, la solitude, je brillais aux yeux des autres, je réussissais tout. Mais aucune réussite ne me comblait.
Je me suis rendu compte que c’était l’oubli de soi. On croit bien faire en donnant, mais c’est là qu’on se perd.
À quel moment me suis-je vraiment écoutée ? C’est dans le vide profond…
À quel moment ai-je entendu ma voix intérieure ? C’est dans la souffrance que j’ai découvert la libération.
J’ai compris que je devais penser à moi.
Malgré le soutien de certaines personnes qui comptent dans ma vie, j’ai réalisé que c’est à moi d’agir ou de subir. C’est un choc. Se choisir, ce n’est pas devenir froide ou égoïste. C’est reconnaître ce qui compte dans ton cœur, ce qui existe réellement.
Se choisir, c’est briser l’illusion. Certaines relations ou engagements s’effacent, mais derrière cette douleur, il y a la clarté de savoir ce que je veux.
Aujourd’hui, j’ai compris que je m’étais oubliée. J’ai compris que ce déclic allait enfin me permettre de me retrouver.
Se choisir, c’est une transformation. Même si le chemin est inconnu, je sais que c’est la bonne destination.
Depuis petite, j’ai cru que penser à soi, c’était mal. Une femme doit être bonne, doit donner sans compter. Elle doit être douce, patiente, souriante…
Alors je me suis toujours adaptée, même quand mon cœur était épuisé.
Petit à petit, je me suis vidée. À force de dire “ce n’est pas grave, ça va aller”, je me suis abîmée. Mais au fond, c’était grave.
Derrière mon sourire, je cachais ma peine, ma douleur profonde, pour ne pas inquiéter mes proches.
J’ai compris qu’en me choisissant, je ne pouvais qu’aller vers le mieux.
Ce n’est pas égoïste de dire “non”. C’est se respecter. C’est une force.
J’ai passé des années à sauver les autres, maintenant je me sauve.
Je n’ai plus besoin de me sacrifier, plus besoin de validation extérieure.
Quand tu te trouves toi-même, tes liens deviennent plus vrais.
Quand l’intérieur change, l’extérieur change aussi.
J’ai appris, dans la douleur, que je ne peux pas tout contrôler. Plus on veut contrôler, plus on se perd.
Aujourd’hui, je choisis de suivre mon intuition.
J’ai compris que la paix vient quand tu t’aimes, quand tu poses des limites.
C’est là que commence une nouvelle vie. C’est là que tu récoltes autrement, et que tout ce qui t’entoure finit par te ressembler.
Changer, ce n’est pas être “trop” ou “pas assez”. C’est juste être moi.
Pour ma vie, pour ma direction intérieure.
Il faut du courage, car les jugements existent, parfois même venant de proches.
Les regards disent : “tu as changé”.
Oui, j’ai changé, parce que je ne veux plus vivre à moitié.
Se choisir, c’est quitter des habitudes inconfortables ou toxiques.
C’est fermer des portes, même lorsqu’elles sont familières.
C’est marcher seule, mais sans se trahir.
C’est enfin m’écouter et écouter mon intuition.
Choisir, c’est s’élever.
C’est là que je me sens à ma place.
Chaque instant est un nouveau départ.
J’avance à mon rythme, vers une vie plus douce, plus vraie.
À partir de maintenant."


